Compte-rendu Veggie Pride 2007

Voici le compte rendu pour ceux qui n'étaient pas présent avec nous dimanche matin, je l'ai reçu par mail :

Citation :

Voici les notes que j'ai prises sur les discussions à propos de la veggie pride, des points qui ont été soulevés dimanche aprèm à l'écobox.

Je vous invite à continuer la discussion sur la Veggie Pride, à parler de tout ce qu'on n'a pas pu approfondir faute de temps (slogans, happening, etc.) sur le forum d'organisation, dans la section compte rendu (il faudra tout d'abord vous présenter dans la section prévue à cet effet) : http://www.veggiepride.org/forum/ et si vous le désirez, à vous impliquer dans l'organisation de la Veggie Pride 2008, votre aide sera très précieuse !

à très bientôt j'espère,
Sara

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Discussions de dimanche 20 Mai 2007 à l’Ecobox



Retour sur la Veggie Pride



Rappel du but de la Veggie Pride :

sortir du placard, d’où l’importance que les manifestants se renouvellent, qu’on y vienne pas par habitude.



Impressions :

- Autant de monde que les années précédentes. Système de comptage avec les tracts distribués (approximatif) = 480 manifestants.

- Suffisamment de pêche

Idées lancées :

- Inviter des musiciens pour orchestre musical dans la manif

- Faire des concerts ou inviter des artistes (cf. Lala Bolduc, à Lyon)

- En happening, faire une contre manif comme la manif des intermittents du spectacle de droite, choisir des slogans ironiques du type « on veut tuer trois fois par jour », « ne nous culpabilisez plus de tuer », etc. Idée à réfléchir, voir quelle performance on pourrait faire.

- Maintenir l’alternance entre gravité et festivité, donner au public l’envie d’adhérer sans pour autant masquer la réalité de la manif. Exemple donné d’une performance faite en Suisse avec des dalmatiens (faux) qui ravissent le public juste à une saignée (fausse) spectaculaire.

Retour sur les slogans :

- « Végétariens / végétaliens / ni morts dans la bouche, ni sang sur les mains » à discutable

- « Nous sommes tous des animaux » à impression mitigée

A voir, réfléchir sur des slogans, tester la scansion, noter les idées qu'on a, pour renouveler les slogans l'an prochain.
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Pour ceux que ça intéresse, bilan de la discussion sur les estivales :

Estivales de la question animale



1. Rappel des dates, lieu

Cette année, du 4 au 11 août 2008

Lieu : dans l’Essonne, accessible en RER situé à 10 min. (13€ l’A/R de Paris)

Bon, ça, vous pouvez le voir sur le site.

Pour ceux qui veulent pas cododoter y a un hôtel à 30 mètres et apparemment on peu négocier les prix.



2. Intervenant cette année (pour l’instant, peu)

- Bernard Baertschi à sur une éthique anthropocentriste

- Pablo à film « zoos, l’enfer du décor »

- Jean-Baptiste G. -à juriste

(j’ai pas les noms en entier, soit parce qu’ils ont pas été dits, soit parce que je sais pas les orthographier)

Il semblerait que Julie ait trouvé un autre intervenant mais j’ai la flemme de chercher sur la liste.

Peut-être aussi, Gilles Raconis, qui visite les abattoirs, vérifie les questions de normes pour le bien-être des animaux. Il est ok a priori mais voudrait un thème précis qu’il aborderait.

Julien, alias Veganesh voudrait contacter un éleveur en thermodynamie ainsi que des gens (éleveurs si j’ai bien compris) sur Colmar qui auraient créé une revue intitulée l’homme et l’animal.

Guy voudrait contacter Patricia qui travaille au CRAC (il semblerait que le CRAC soit déjà venu, à confirmer)



3. Planning pas plein, on maintient ?

Idée de François à maintenir et favoriser les réflexions en groupe, les ateliers, prendre du temps pour mettre en place la campagne « abolition ».



4. Assurance

Le lieu n’étant pas aux normes, il faudrait que chaque participant sache qu’il n’est pas couvert. Il faudrait que quelqu’un contacte une assurance pour savoir quelles sont les démarches à faire. Si on ne s’occupe pas de ça d’ici août, on ne pourra pas ouvrir les estivales (faire de la pub, comme si c’était un évènement de grande envergure) et le copain de François qui prête sa maison va être en colère.

Voir si légalement, lors d’un tel rassemblement, ça peut être la couverture civile qui assure les personnes présentes. Voir comment, dans une telle configuration, on pourrait avoir la certitude que tout le monde (y compris le proprio des lieux) est couvert en cas d’accident.



5. ouvrir les Estivales

Si l’histoire de l’assurance est réglée, pourquoi ne pas consacrer toute une journée à organiser une discussion dans le village, ouverte à tous ?