Sursis pour les baleines ?
26 février 2010
Professeur à l'université du Maine (Etats-Unis), Andrew Pershing n'est pas un poète. Mais depuis qu'il a qualifié les baleines de "forêts des océans", certains confrères s'interrogent sur sa métaphore. En séminaire avec ses pairs, le chercheur vient de préciser sa pensée. Il a expliqué que son équipe avait calculé la capacité de CO2 annuellement stocké par un cétacé, puis relié celle-ci au nombre de campagnes de pêches menées au cours d'une centaine d'années. Résultat: l'harponnage des baleines aurait entraîné une déperdition de CO2 équivalent à la destruction de quelque 130 000 km2 de forêts...
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