Holocauste d'Oiseaux

GRIPPE AVIAIRE - HOLOCAUSTE D'OISEAUX

60 humains morts d'une forme de grippe aviaire et 150 millions de poulets gazés, étouffés, brûlés et parfois même enterrés vivants. Poulets, dindes, pigeons, canards, perroquets, cet holocauste se déroule dans l'indifférence générale face à la souffrance animale. On transporte sans ménagement les oiseaux la tête en bas, les ailes battantes. Pas toujours malades, seulement porteurs du virus, l'abattage des oiseaux se fait par "prévention". Évidemment, personne ne songe à les soigner ou à les mettre à la retraite. Personne n'ont plus pour dénoncer le traitement immoral de ces animaux, comme s'ils n'étaient que de simples objets, des marchandises sans émotions, incapables de ressentir de la douleur. Aucune considération, aucune pitié, rien pour ces poulets si mal aimés hors de l'assiette. Fièvre aphteuse, grippe porcine, vache folle, verrons-nous des montagnes d'animaux brûlés vifs comme il y a peu de temps encore en Europe et en Asie? Va-t-il falloir tuer tous les poulets et les cochons de la terre par prévention, pour protéger l'intérêt des humains?


Indonésie ( 2004 ), des poulets brulés vivants!

Afin de justifier ces massacres d'oiseaux, on affirme que le méchant virus H5N1 des poulets pourrait muter, s'humaniser et se transmettre d'humain à humain. Cette probabilité n'est qu'hypothétique. La course aux vaccins est lancée pour un virus qui n'existe même pas encore. On conseille de se faire vacciner avec l'actuel vaccin contre la grippe, tout en sachant que son virus est différent de celui de la grippe aviaire. Une demande qui ne sert finalement qu'à tester les procédures d'un programme de vaccination de masse, un exercice de rodage pour les instances médicales et gouvernementales.

Dans cette psychose du poulet, pour démontrer la virulence d'un virus ayant muté, la grippe espagnole est donnée en exemple. Récemment, l'armée américaine a ressuscité le virus qui, selon elle, déclencha cette épidémie qui a fait des millions de morts en l918-l919. En Alaska, les chercheurs exhumèrent les tissus gelés d'une femme. Des tissus pulmonaires, conservés dans le formol ont également contribué à reconstituer le code génétique d'un virus d'origine aviaire, adapté au cochon, puis à l'humain, selon les scientifiques du Pentagone. Il a été injecté à des pauvres souris, mortes quelques jours plus tard, ainsi qu'à des embryons de poulets. Plusieurs scientifiques se sont élevés contre cette recréation d'un virus mortel. Selon eux, les risques de libération délibérée ou accidentelle du virus dans la nature par l'armée américaine auraient dû justifier l'interdiction de leurs travaux.

Ce n'est pas la première fois que l'armée américaine s'amuse avec des virus virulents et toxiques. Très intéressant de savoir que cette fameuse grippe dite espagnole n'est pas venue d'Espagne. Son nom provient d'une rumeur qui a circulé pendant la première guerre mondiale. Au moment où l'épidémie se propageait en sol européen, en France on croyait que la maladie venait de boîtes de conserve importées d'Espagne, dans lesquelles des espions allemands avaient introduits des microbes. Cette légende urbaine donna le nom à cette grippe.

En fait, cette grippe espagnole s'est déclarée pour la première fois en l918, dans un camp militaire de Fort Riley, près de Boston. Dans ce camp, les soldats étaient massivement vaccinés avant leur départ pour l'Europe. Avec des virus et des bactéries contre la variole, la diphtérie, le tétanos et la rage; avec plusieurs doses du vaccin contre la typhoïde. A travers les États-Unis, dans tous les camps militaires, les soldats-cobayes furent vaccinés. Les médecins de l'époque notèrent un grand nombre de soldats morts tout juste après les vaccinations ou ayant les symptômes des maladies dont ils venaient d'être inoculés. Puis la population civile s'est elle aussi fait vacciner, parfois de force. Des milliers de soldats dûment vaccinés traversèrent l'Atlantique. C'est après ces vaccinations de masse que l'épidémie dite de grippe espagnole s'est déclarée aux États-Unis puis propagée à travers le monde. Assez étrangement, la Grèce et quelques autres pays qui n'avaient pas accepté ces vaccinations de masse, échappèrent comme par miracle au fléau de cette grippe. Aux États-Unis, les seuls qui ne furent pas grippés furent ceux qui refusèrent les vaccinations.

En 1918 les vaccins inoculés aux soldats américains étaient cultivés dans des souches animales: chevaux, moutons, vaches et cochons. Une mutation s'est-elle produite dans ces cocktails toxiques? Que savait-on vraiment du pouvoir dangereux des bactéries et des virus à ce moment là, des effets secondaires des vaccins et surtout de la complexité du système immunitaire? Il faut que nous soyons terriblement ignorants ou manipulés par la peur pour croire que des vaccins injectés directement dans le sang et fabriqués avec virus mutants, bactéries, mercure, aluminium, gélatine, protéine de cochon ou sérum bovin peuvent apporter la santé. L'actuel vaccin de la grippe donné au Canada, aux adultes comme aux enfants, contient du formaldehyde et du mercure. Il est cultivé dans embryons de poulets et serum de veau. Quand au Tamiflu, cet anti-viral acheté à coups de millions de doses par plusieurs pays, il ne serait pas plus efficace qu'un placebo dans le traitement préventif et curatif de la grippe, selon un rapport de l'Office canadien de coordination de l'évaluation des technologies de la santé (OCCETS) - (rapports technologiques de janvier et novembre 2001). De plus, il a de la gélatine dans ses composantes.

L'élimination massive des volailles

Tout ce tapage médiatique autour d'un nouveau vaccin contre la grippe aviaire cache une sordide vérité. Les poulets sont doublement massacrés. Dans les fermes, les élevages mais aussi dans les laboratoires pour la fabrication des vaccins.

De toute urgence, pour contrer cette épidémie de la peur, il faudrait mettre de l'avant une perception holistique de la santé, des méthodes alternatives de guérison. Même en l918, des thérapeutes purent guérir nombre de leurs malades atteints de la grippe espagnole. Alors que les médecins vaccinateurs perdaient près de 40 % de leur patients atteints, les homéopathes, par exemple, recensèrent à peine l % de mortalité parmi leurs patients. En l921, plus de 50 homéopathes ont témoigné de ce fait dans le "Journal of the American Institute of Homeopathy"; ils guérissaient leurs malades avec des doses de Gelsemium. Le célèbre médecin américain Harvey Kellogg (1852-1943), dans son sanatorium Battle Creek, soigna avec succès plusieurs malades avec une alimentation végétarienne frugale (sans oeufs, alcool, tabac ou sucre), des bains et des jeûnes. Plus récemment, des médecins tels que Claus Junbeblut, Boissevain, Spilane, Archie Kalokerinos ou Frederic Klenner traitèrent des cas de grippe avec des doses massives de vitamine C. L'extrait de pépin de pamplemousse - 30 gouttes dans l'eau, 3 fois par jour pendant 2 à 3 jours - stimule aussi les défenses immunitaires. Tout comme le chlorure de magnésium.

La véritable prévention? Ne pas se faire vacciner et ne pas manger de poulet. Pour ces oiseaux sacrifiés sur l'autel du commerce de la viande et des vaccins, pour les humains aussi, la solution la plus efficace, logique et éthique est une alimentation végétale, sans produits animaux. Une solution trop simple évidemment pour les multinationales pharmaceutiques

Source photos: http://projectsomewhere.com/9810,02,2-0-Cruelty%20to%20Chickens.html

http://www.ass-ahimsa.net/ferme5.html
Marjolaine Jolicoeur - Journal AHIMSA, automne 2005

comme quoi les vaccinations...