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 Tendances alimentaires actuelles : où se situe la Suisse?

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arnelae
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MessageSujet: Tendances alimentaires actuelles : où se situe la Suisse?   Tendances alimentaires actuelles : où se situe la Suisse? EmptyMer 7 Déc - 23:56

Tendances alimentaires actuelles : où se situe la Suisse?

Communiqué de presse

Berne, le 5 décembre


Le Conseiller fédéral Pascal Couchepin a présenté aujourd’hui à Berne le 5e rapport sur la nutrition en Suisse. Ce rapport souligne qu’en Suisse, les
conditions sont optimales pour que chacun bénéficie d’une alimentation saine et équilibrée. Elles restent cependant trop peu exploitées, comme le
démontre ledit rapport, élaboré à partir de plus de 70 études. Il présente
les habitudes alimentaires actuelles en Suisse. Des mesures de prévention
renforcées en matière de nutrition peuvent améliorer notablement l’état de santé de la population, augmenter la qualité de vie et faire baisser les coûts de la santé.

Les rapports sur la nutrition sont mis à jour tous les sept ans, sur mandat
de l’Office fédéral de la santé publique (OFSP). La présente édition se
penche à nouveau sur différents aspects de la nutrition.

Elle confirme une nouvelle fois qu’en Suisse, les aliments sont sûrs. Les
véritables risques sanitaires ne découlent pas de la « contamination » des
aliments par des substances indésirables, mais plutôt d’une mauvaise
alimentation. Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), les maladies liées à l’alimentation figurent en tête des facteurs de risque pour notre santé ; cette organisation a adopté une résolution en conséquence. Le 5e rapport suisse sur la nutrition ne se contente toutefois pas d’étudier les problèmes de nutrition ; il fournit également des solutions.

Pour ce faire, les auteurs n’ont pas hésité à se servir des expériences
faites hors de nos frontières. Un rapport finnois s’appuie sur des données
extraites du projet « Carélie du Nord » pour démontrer que les habitudes
alimentaires d’un pays peuvent être favorablement modifiées par des mesures adéquates.

Sur une période de 30 ans et en s’alliant à l’industrie agroalimentaire, au
secteur agricole, aux médias, aux écoles et à d’autres partenaires, les
autorités sanitaires finnoises ont ainsi réussi à diminuer considérablement
les maladies nutritionnelles. En 25 ans, le nombre de décès dus à des maladies cardio-vasculaires chez des hommes âgés de 35 à 64 ans a baissé de 64 %. De tels résultats devraient donner un second souffle aux projets de prévention en Suisse.

En effet, des programmes à portée nationale, comme « Suisse balance », « 5 par jour » ou « action d », ont atteint plusieurs objectifs ces dernières années. Ce 5e rapport sur la nutrition en Suisse pose les bases qui permettront de développer une politique nutritionnelle suisse, conformément à la stratégie de l’OMS. L’OFSP travaille donc actuellement à mettre en oeuvre la résolution de l’OMS.

Depuis la publication du 4e rapport sur la nutrition en Suisse, le clivage
s’est encore accentué. En effet, en parallèle au problème grandissant de la
surcharge pondérale, les hôpitaux notamment se trouvent confrontés à la
dénutrition, phénomène peu connu jusqu’alors. Une enquête menée dans 50 grands hôpitaux a montré qu’environ 20 à 40 % des patients hospitalisés présentaient des signes d’une alimentation carencée.

Outre ces thèmes majeurs, le rapport livre également des informations
d’intérêt général, comme par exemple les apports nutritionnels des sportifs de haut niveau. Résumé : le faible apport en glucides, qui, en moyenne, n’atteint même pas l’apport minimum nécessaire aux sportifs amateurs, représente une véritable carence dans leur alimentation.

!!!!!!!!Les dernières données récoltées sur le végétarisme sont également
instructives. Les végétariens sont souvent en meilleure santé que les
omnivores. Ils consomment plus de fruits, de légumes, de fruits oléagineux et de produits à base de céréales complètes et ont un mode de vie plus responsable en matière de santé. !!!!!!!! cheers

L’édition scientifique du rapport sur la nutrition (livre ou cédérom) compte
1070 pages et se divise en huit chapitres. Grâce à l’élaboration d’une
version abrégée ciblant les enfants et les adolescents et d’un dépliant
comportant des astuces à appliquer au quotidien, les données les plus
importantes du rapport sur la nutrition sont aussi à la portée d’un large
public.


Renseignements complémentaires

Michael Beer, OFSP,

responsable de la division Science alimentaire,

tél. 031 322 95 05

http://www.european-vegetarian.org/lang/fr/news/news.php?id=7094

http://www.european-vegetarian.org/lang/fr/news/news.php?id=7095
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http://againstsuffering.over-blog.com/
 
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