ah... pour moi, je vois plutôt le végétarisme comme un échange de bons procédés. il ne faut pas oublier que chaque espèce a sa manière de communiquer et que dans l'absolu, on devrait tous vivre les uns séparés des autres au milieu de la nature.
après, il faut remettre les choses dans leur contexte. aujourd'hui, l'agriculture et l'élevage intensifs ont pris le dessus et certains tentent comme ils peuvent d'y remédier en faisant du bio. ce n'est parfait j'en conviens, mais dans un cas on traite l'animal comme un "produit", dans l'autre comme un être sensible puisqu'on se préoccupe de son bien être, au moins tant qu'il vit.
encore une fois, nous ne vivons ni dans un monde végéta*ien, ni dans un monde parfait. et l'ati spécisme ne peut pas (à mon sens) se définir par rapport à un absolu ou un idéal, mais bien par rapport à la réalité.