L'IPSN, Institut pour la Protection de la Santé Naturelle se bat
- pour faire connaître les personnalités qui remettent en question le pouvoir des médecines officielles
- pour que l'homéopathie et l'herboristerie ne disparaissent pas en Europe !
- pour que tout moyen alternatif et à la porté de chacun permette de se soigner sans séquelles et à un moindre coût, en toute responsabilité et indépendance.
Non, ça ne plaît pas à Big-Pharma, c'est sûr...
L’IPSN en ordre de marche pour une rentrée explosive !
Voici tout d’abord nos deux actualités urgentes du moment :
Notre prochaine conférence se tiendra à Lille, le 19 Septembre 2013. Au Cinéma Le Majestic (54, rue de Béthune, Lille), on diffusera le Film de Jean-Yves Bilien « Les chemins de la guérison » qui sera suivi d’une conférence-débat avec le réalisateur et le Dr Olivier Soulier, écrivain, conférencier et spécialiste de la symbolique des maladies. Ce sont deux personnes extraordinaires qui méritent vraiment d’être découvertes. Si vous souhaitez vous inscrire, rdv ici : Formulaire d'inscription.
Pour en savoir plus : Les chemins de la guérison.
>>> Cela fait 100 jours que le petit Joachim est détenu par les services sociaux. Si vous ne l’avez pas encore fait, vous pouvez encore signez notre pétition pour qu’il soit libéré.
Pétitionnons !
Je reçois parfois des mails dubitatifs quant à l’utilité de lancer des pétitions malgré leur popularité. Et c’est vrai, le déséquilibre entre les forces en présence n’est pas encourageant. Face aux grands lobbys, bien installés, trop écoutés par le pouvoir quand ils ne lui dictent pas les règles, les pétitions sont des armes bien frêles. Et signer une pétition, ne change pas la loi. D’accord. Mais les pétitions restent des instruments formidables de communication ! Et les autorités y sont plus sensibles qu’on ne le croit. En fait, le pouvoir déteste les pétitions.
Pourquoi ? Parce qu’elles lui échappent (contrairement aux médias). Spontanées, chargées d’émotions et de revendications, elles sont souvent plus proches du ressenti de l’opinion que les analyses plus ou moins fines des cabinets de consultants. En plus, elles manquent d’usages : c’est sans prévenir qu’elles s’invitent dans le débat public !
Elles sont un élément essentiel de la vie démocratique. Premier acte du citoyen militant, elles seules peuvent rassembler en un temps record des milliers de citoyens autour d’une cause. Et l’étincelle se transforme en collectif, puis en mouvement… et parfois en loi.
Les actions de terrain…
Mais ce qui fait vraiment la différence, c’est la pétition assortie d’actions de terrain. Lorsque on démarche les responsables politiques où que l’on rencontre le grand public, on est sûr d’obtenir des résultats. C’est particulièrement vrai dans le domaine de la santé naturelle où le changement de mode de vie d’une partie de la population est déjà une victoire. Et lorsque l’on assiste à une conférence, que l’on prend part à un atelier ou à un stage (ce que proposent certaines associations) où que l’on adopte les recommandations formulées par les personnalités reconnues de la santé naturelle comme le Professeur Joyeux, le Dr de Lorgeril, Thierry Souccar ou encore Jean Marc Dupuis, on participe activement au changement. Soutenir l’herboristerie, connaître les plantes et les aimer, tout cela, au même titre que les pétitions sur ces sujets, contribue à « faire changer les mentalités ».
La stratégie du regroupement
L’IPSN se bat pour que toutes ces démarches coordonnées aient un sens et un écho auprès des pouvoirs publics. Nous nous battons pour que les citoyens-consommateurs aient accès à une information la plus qualitative possible, d’où :
>>> nos partenariats
>>> la création d’un comité scientifique qui vient compléter notre Comité d’éthique.
>>> notre groupe de travail sur la phytothérapie.
>>> et nos conférences.
Or vous le savez, en cette rentrée 2013, l’herboristerie et la phytothérapie sont toujours menacées d’extinction en Europe, les homéopathes sont régulièrement attaqués, tandis que la législation sur les compléments alimentaires et son application sont une menace quotidienne pour les PME du secteur. Il y a donc du pain sur la planche ! Nous devons continuer à nous battre pour faire vivre la filière des produits naturels et faire accepter au législateur qu’il y a une place dans ce grand « marché » de la santé, pour de nouveaux acteurs de santé, à commencer par les herboristes !