Salut tout le monde
Nous reprenons notre stand du samedi pour la 2eme saison de la campagne "les
animaux ont des droits". Nous continuons notre effort pour visibiliser les
droits des animaux, favoriser le végétarisme-lisme, et surtout recruter un
maximum de militants, objectif prioritaire vu la faible mobilisation
constatée pour la cause animale, malgré l'ampleur des crimes commis contre
les animaux.
La 52ème action les animaux ont des droits se tiendra à paris de 14h00 à
18h00, métro les Halles (Fontaine des Innocents, à l'angle de la rue Berger
et de la rue St Denis), ce samedi 14/01/06. On depassera eventuellement
jusqu a 20h00 ou plus selon l affluence.
Vous êtes toujours les bienvenus, pourvu que vous respectiez l’esprit de
cette campagne (voir le tract et la pétition ci-dessous) axée exclusivement
sur les intérêts des animaux plutôt que sur des considérations relatives à
l’espèce humaine. on vous remercie donc d éviter ce genre d’argumentaires ou
de considérations :
- tiers monde,
- environnement,
- diététique,
- spiritualité,
- autres luttes politiques,
etc...
merci d avance et a bientôt peut être!
contact : jean-luc (0143323985/0663136320)/david (0621662924)
Le saviez-vous ?
Les animaux ont des droits !
Quels droits ?
Les droits élémentaires que chacun de nous possède et trouve normal de
posséder : droit à la vie, à la liberté, à ne pas être torturé ni subir de
mauvais traitements...
pourquoi des droits ?
Parce qu'ils sont des êtres vivants et sensibles qui en tant que tels
méritent d'être respectés, alors qu'ils sont pour l'instant totalement
méprisés ! C’est le moins qu’on puisse dire… Il suffit de franchir la porte
d'un abattoir pour s'en rendre compte : 47 milliards d'animaux y sont tués
tous les ans, pendant que des milliards de poissons meurent asphyxiés dans
les filets des bateaux de pêche (1).
Les abattoirs… ça respire la mort, les animaux le sentent, ils ont compris.
Mais la vie qui précède cette fin brutale n’est pas vraiment plus enviable:
vous avez vu dans la vidéo que nous projetons ces images si violentes qui
sont pourtant le quotidien des animaux, tous les jours, toute leur vie.
Ce veau qu'on arrache à sa mère, les grands coups dans la gueule de ce
cochon qui n’avançait pas assez vite, les moutons entassés les uns sur les
autres dans les camions sans eau pendant des jours. Une vie misérable,
cloîtrés, écrasés dans les cages des élevages en batterie. Dans les élevage
extensifs, on dit que c’est plus acceptable, qu’on y passe une belle vie :
imaginez alors le choc pour celui qui passe des prairies et de l’abreuvoir à
la lame du couteau qui vous tranche la gorge. Comme les autres il sentira sa
vie lui échapper à mesure que son sang coule sur le sol. Voyant ça, certains
tentent de s’échapper. Ils n’iront pas loin…
Il y a aussi la vivisection, l'industrie du cuir et de la fourrure, et tant
d'autres activités qui privent les animaux de leur vie. De quel droit ?
comment pouvons-nous autant les mépriser ?
Parce que nous avons choisi de les considérer comme de la marchandise, dont
on peut disposer à sa guise dès lors qu'on l'a achetée, et cela nous arrange
bien ! Pourtant ils ressentent les choses comme nous : douleur, souffrance,
mais aussi plaisir, joie, par exemple lorsqu'on les caresse, quand ils se
sentent aimés ou simplement libres. Jusqu'à preuve du contraire eux non plus
ne souhaitent pas être torturés ou tués ! Bien au contraire, ils aiment
vivre !
alors que faire ?
Lorsqu'on a ouvert les yeux et compris que les animaux existent pour
eux-mêmes et non pas pour nous servir, on a envie de se bouger pour que ça
change. Mais certains essaieront de nous décourager, en prétendant qu'on n'y
peut rien.
pourtant...
Nous avons la chance de pouvoir sauver un grand nombre d'animaux en
choisissant de nous alimenter autrement. En optant pour le végétarisme (2),
on épargne la vie d'une centaine d'animaux par an en moyenne ! En étant
végétalien-ne (2 et 3), on en sauve encore beaucoup plus ! On a aussi la
possibilité de se vêtir avec des matières synthétiques, de refuser les
produits testés sur les animaux... Et plus les végétaliens et végétaliennes
seront nombreux, plus la reconnaissance des droits des animaux pourra enfin
être soulevée au niveau global.
Rien ne nous oblige à cautionner ce carnage, que seul le droit du plus fort
légitime, conforté par notre habitude de traiter les animaux comme de la
marchandise. La viande, ce morceau de leur corps que nous leur volons, pour
un peu de « plaisir », représente pour eux une vie triste, écourtée,
douloureuse. Par notre consommation quotidienne, nous pouvons leur éviter
ça.
_______________________________________________________________________________
1. On ignore le nombre exact de poissons tués puisqu’ils ne sont
pas>décomptés par individu mais à la tonne (90 millions de tonnes en 2003).
2. L'alimentation végétarienne et végétalienne est fiable pour la santé,
comme en témoigne notamment l'Association américaine de Diététique (nov.
97): "La position officielle de l'ADD est que les régimes végétariens et
végétaliens biens conçus sont bons pour la santé, adéquats au plan
nutritionnel, (…) appropriés à tous les âges de la vie, y compris durant la
grossesse et la lactation."
3. Le végétalisme est une alimentation basée exclusivement sur la
consommation de produits végétaux, sans aucun sous-produit d'origine animale
(œufs, lait...).
PETITION ADRESSEE A L'UNESCO
Les signataires demandent que soient immédiatement reconnus à chaque
animal les droits correspondants à ses intérêts d'individu autonome et à son
statut
d'être sensible, car en mesure de ressentir des états émotionnels
comparables
aux nôtres, tels la souffrance, le plaisir, la tristesse, la joie... Aussi
chaque animal a-t-il intérêt à vivre une vie qui soit la plus possible
source de plaisir, et la moins possible source de souffrance.
Les droits qu'implique un tel état sont notamment :
1. Le droit à la vie.
Les animaux sont des êtres autonomes. Nul animal ne saurait être privé de sa
vie qui n'appartient qu'à lui-seul.
2. Le droit à la liberté.
Nul animal ne saurait être emprisonné. Ceci implique l'inappropriabilité: un
animal ne saurait être considéré comme chose appropriable ou susceptible de
faire l'objet d'un commerce.
3. Le droit à ne pas être torturé ni subir de mauvais traitements.
Quelqu'en soit la raison, aucun mauvais traitement ne saurait être
infligé à un animal, fût-ce pour le bien commun.
Les animaux ne peuvent se défendre eux-même comme nous le ferions si nous
étions à leur place.
Exigeons pour eux des droits qui les protègent.
NOM - Prénom Adresse Pays Profession Signature
Contact : droitsdesanimaux@hotmail.com et 01 43 32 39 85 /06 63 13 63
20(Jean-Luc)
06 21 66 29 24 (David)