Le but des chercheurs n'est pas de lutter contre la souffrance animale mais de trouver une alternative permettant de produire suffisamment de viande pour contenter la demande mondiale grandissante. La solution la plus simple, la moins onéreuse serait que tout le monde réduise sa consommation.
Ce qui m'énerver beaucoup en ce moment, c'est qu'à entendre les consommateurs de viande, ils seraient incapables de manger sans et que c'est dans les habitudes. Sauf que ces habitudes sont récentes. Quand j'étais petite, les grand-mères de mon village racontaient que la viande c'était uniquement le dimanche et les jours de fête. Les autres jours, il n'y en avait pas, c'était bien trop cher ! Et pourtant, ils savaient s'alimenter sans avec ce que la ferme produisait.
Bref, moi, ce truc, je n'y toucherai pas. Et peut-être faudrait-il simplement éduquer les populations plutôt que de jouer aux apprentis sorciers pour répondre aux envies alimentaires.